ITU-T SERIE P SUPP 10 FRENCH-1988 Considerations relating to transmission characteristics for analogue handset telephones《有关传输特性的模拟手机电话的注意事项》.pdf

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1、 UNION INTERNATIONALE DES TLCOMMUNICATIONS Srie PSECTEUR DE LA NORMALISATION DES TLCOMMUNICATIONS DE LUIT Supplment 10(11/88) SRIE P: QUALIT DE TRANSMISSION TLPHONIQUE, INSTALLATIONS TLPHONIQUES ET RSEAUX LOCAUX Considrations relatives aux caractristiques de transmission des combins tlphoniques anal

2、ogiques Recommandations de lUIT-T de la srie P Supplment 10 (Antrieurement Recommandations du CCITT) RECOMMANDATIONS UIT-T DE LA SRIE P QUALIT DE TRANSMISSION TLPHONIQUE, INSTALLATIONS TLPHONIQUES ET RSEAUX LOCAUX Pour plus de dtails, voir la Liste des Recommandations de lUIT-T. Vocabulaire et effet

3、s des paramtres de transmission sur lopinion des usagers Srie P.10 Lignes et postes dabonns Srie P.30 P.300 Normes de transmission Srie P.40 Appareils de mesures objectives Srie P.50 P.500 Mesures lectroacoustiques objectives Srie P.60 Mesures de la sonie vocale Srie P.70 Mthodes dvaluation objectiv

4、e et subjective de la qualit Srie P.80 P.800 Qualit audiovisuelle dans les services multimdias Srie P.900 Supplment 10 Srie P (11/88) i AVANT-PROPOS LUIT (Union internationale des tlcommunications) est une institution spcialise des Nations Unies dans le domaine des tlcommunications. LUIT-T (Secteur

5、de la normalisation des tlcommunications) est un organe permanent de lUIT. Il est charg de ltude des questions techniques, dexploitation et de tarification, et met ce sujet des Recommandations en vue de la normalisation des tlcommunications lchelle mondiale. La Confrence mondiale de normalisation de

6、s tlcommunications (CMNT), qui se runit tous les quatre ans, dtermine les thmes dtudes traiter par les Commissions dtudes de lUIT-T, lesquelles laborent en retour des Recommandations sur ces thmes. Lapprobation des Recommandations par les Membres de lUIT-T seffectue selon la procdure dfinie dans la

7、Rsolution n 1 de la CMNT. Dans certains secteurs des technologies de linformation qui correspondent la sphre de comptence de lUIT-T, les normes ncessaires se prparent en collaboration avec lISO et la CEI. NOTE Dans la prsente Recommandation, le terme exploitation reconnue (ER) dsigne tout particulie

8、r, toute entreprise, toute socit ou tout organisme public qui exploite un service de correspondance publique. Les termes Administration, ER et correspondance publique sont dfinis dans la Constitution de lUIT (Genve, 1992). DROITS DE PROPRIT INTELLECTUELLE LUIT attire lattention sur la possibilit que

9、 lapplication ou la mise en uvre de la prsente Recommandation puisse donner lieu lutilisation dun droit de proprit intellectuelle. LUIT ne prend pas position en ce qui concerne lexistence, la validit ou lapplicabilit des droits de proprit intellectuelle, quils soient revendiqus par un Membre de lUIT

10、 ou par une tierce partie trangre la procdure dlaboration des Recommandations. A la date dapprobation de la prsente Recommandation, lUIT navait pas t avise de lexistence dune proprit intellectuelle protge par des brevets acqurir pour mettre en uvre la prsente Recommandation. Toutefois, comme il ne s

11、agit peut-tre pas de renseignements les plus rcents, il est vivement recommand aux responsables de la mise en uvre de consulter la base de donnes des brevets du TSB. Ge3 UIT 1999 Droits de reproduction rservs. Aucune partie de cette publication ne peut tre reproduite ni utilise sous quelque forme qu

12、e ce soit et par aucun procd, lectronique ou mcanique, y compris la photocopie et les microfilms, sans laccord crit de lUIT. ii Supplment 10 Srie P (11/88) TABLE DES MATIRES Page 1 Introduction 1 2 Rponse en frquence la rception. 1 3 Efficacit la rception 2 4 Rponse en frquence lmission . 2 5 Effica

13、cit lmission. 4 6 Rgulation. 4 7 Impdance prsente la ligne . 4 8 Impdance dquilibrage de leffet local 4 9 Interfonctionnement avec le rseau existant . 5 Rfrences 5 Supplment 10 Srie P (11/88) 1 Supplment 10 aux Recommandations de la Srie P CONSIDRATIONS RELATIVES AUX CARACTRISTIQUES DE TRANSMISSION

14、DES COMBINS TLPHONIQUES ANALOGIQUES (Malaga-Torremolinos, 1984; modifi Melbourne, 1988) 1 Introduction Ce supplment, bas sur la rfrence 9, rsume les renseignements dont on dispose au sujet des possibilits doptimalisation de certaines caractristiques des appareils tlphoniques combin. On y trouvera de

15、s indications sur lefficacit lmission et la rception, les rponses en frquence, les caractristiques deffet local, linfluence de limpdance et les dimensions des combins. Il faut se rappeler quil existe plusieurs manires de faire une optimalisation. Par exemple, il est indispensable de connatre le nomb

16、re des degrs de libert. Comme les opinions diffrent dun pays un autre (par exemple en raison des diffrences entre les hypothses admises), les rsultats de loptimalisation diffreront eux aussi. Le prsent supplment aborde certains de ces problmes. 2 Rponse en frquence la rception La plupart des Adminis

17、trations paraissent avoir une prfrence pour une rponse en frquence assez plate entre 300 Hz et 3400 Hz. Cette prfrence remonte probablement aux premiers temps des rseaux tlphoniques, poque laquelle on dcida quune praccentuation ventuelle aux frquences leves devrait se situer dans le systme metteur a

18、fin que soit obtenue la meilleure valeur totale possible du rapport signal/bruit. Si lon considre comme rponse de rfrence lcoute en champ acoustique libre, avec les deux oreilles (conversation entre deux personnes se faisant face) et si lon suppose alors une rponse en frquence (plate) indpendante, o

19、n doit, en principe, reproduire ces mmes conditions dans le cas de lcoute avec une seule oreille, au moyen dun couteur. Ds lors, dans lcoute avec couteur, on doit avoir, pour ce dernier, une rponse en frquence selon la courbe de la Figure 1, afin de simuler leffet de diffraction qui existe dans lcou

20、te en champ libre, avec les deux oreilles 1. Toutefois, la plupart des Administrations paraissent prfrer une rponse plate et introduire la correction correspondante dans le systme metteur. Par ailleurs, il est peut tre plus facile de construire un rcepteur de haute efficacit si on a pour but une rpo

21、nse plate. Dans le document cit en 2, on propose une rponse reprsente par la Figure 2, avec optimalisation pour une ligne dabonn moyenne. Si le secteur lectrique introduit un bruit excessif, il peut tre avantageux davoir une rponse prsentant un affaiblissement plus grand aux frquences basses, par ex

22、emple 200 Hz et en dessous. 2 Supplment 10 Srie P (11/88) 3 Efficacit la rception Lefficacit la rception est souvent reprsente aujourdhui par des valeurs dESR comprises entre 4 dB et 12 dB. Il serait techniquement possible, grce lemploi damplificateurs, daccrotre davantage lefficacit. Toutefois, le

23、risque daudibilit de la diaphonie augmente avec lefficacit. En consquence, il est ncessaire de prendre en considration les renseignements donns dans la Recommandation P.16 et il est peu probable quil soit possible de recommander daccrotre encore lefficacit au-del dun ESR = 12 dB. Laugmentation de le

24、fficacit la rception entrane une diminution des marges prvues contre les effets du bruit prsent sur la communication en labsence de signaux vocaux, par exemple contre les produits dintermodulation parasites des systmes MIC. Elle a aussi une influence sur la stabilit pour les amorages doscillations.

25、4 Rponse en frquence lmission Aprs avoir adopt, pour la rponse en frquence la rception, une caractristique plate, on peut optimaliser la rponse en frquence lmission de faon obtenir la caractristique totale qui convient. Le document cit en 3 propose une optimalisation obtenue en interrogeant les usag

26、ers du tlphone pour dterminer la rponse prfre. Le rsultat est reprsent par la Figure 3. Larticle cit en 4 propose une augmentation de 2 3 dB par octave mesure que la frquence crot. Ce rsultat a t obtenu dans des essais portant sur le naturel de la parole. Le document cit en 2 propose une courbe plus

27、 raide (Figure 4) comme rsultat dune optimalisation dans laquelle se combinent la sonie maximale, le moindre effort dcoute et le plus faible niveau de sortie. Le nombre de degrs de libert utilis dans 2 est naturellement infrieur celui qui correspond 3 et 4. Parvenu ce point, on peut avoir des opinio

28、ns diffrentes au sujet des diverses conditions pralables introduire dans loptimalisation. Si le rapport signal/bruit suscite des difficults, on peut gagner quelques dB (sans saturation) de la manire indique en 2. Sil ny a pas de difficult concernant le rapport signal/bruit, on peut avoir recours une

29、 optimalisation en vue de la sensation de naturel la plus satisfaisante, comme dans 3 et 4. Ainsi, le rsultat dpendra des hypothses faites. On peut aussi avoir des opinions diffrentes au sujet de la longueur de ligne dabonn pour laquelle la rponse en frquence doit tre optimalise, et galement quand i

30、l sagit de dcider sil faut compenser, sur des lignes longues, laffaiblissement aux frquences leves. La rfrence 2 propose une optimalisation pour une ligne dabonn moyenne, ce qui donne les conditions optimales pour le plus grand nombre dabonns (par suite de la rpartition statistique des longueurs de

31、ligne). Supplment 10 Srie P (11/88) 3 Les courbes traces conformment la Figure 4 et 4 fournissent, avec une rponse en frquence plate la rception, une caractristique totale voisine de celle que lon obtient par leffet de diffraction dans lcoute en champ acoustique libre. Toutefois, cela ne constitue p

32、robablement pas lexplication complte des courbes prfres. Mme si les rponses la rception taient plates dans les conditions de mesures ralises avec couteur hermtiquement fix sur loreille, presque personne ne tient lcouteur trs fortement appliqu contre loreille pendant la conversation. En consquence, l

33、es rponses effectives obtenues en conversation ont probablement donn une coupure supplmentaire en frquence basse, ce qui a certainement influ sur les rsultats (voir aussi rfrence 5). 4 Supplment 10 Srie P (11/88) 5 Efficacit lmission Pour choisir lefficacit lmission, on dispose dun degr de libert de

34、 moins que pour lefficacit la rception. On doit considrer la fois le risque de diaphonie et le risque de saturation pour dautres parties du systme tlphonique. Il faut tenir compte des niveaux de sortie effectifs produits par le poste tlphonique. Comme le montre 6, on a obtenu, dans divers pays, diff

35、rents niveaux de sortie pour la mme valeur de lquivalent de rfrence lmission (ERE). Toutefois, les diffrents rsultats font apparatre un important point commun: les niveaux de sortie pendant la conversation normale sont gnralement plus bas que pendant les mesures dquivalent de rfrence. On peut esprer

36、 obtenir sur ce point une meilleure concordance lavenir, avec une plus grande longueur de ligne de mesure, dfinie dans lannexe A la Recommandation P.76 pour la mesure des quivalents pour la sonie. 6 Rgulation On a la possibilit daugmenter lefficacit lmission, pour les lignes longues, en utilisant un

37、e longueur de ligne dpendant de la rgulation lmission. Le risque de saturation et le risque de tldiaphonie ne seront pas accrus si la puissance moyenne est maintenue la mme valeur que celle daujourdhui (voir aussi 2). Le risque de paradiaphonie dans le cble dabonn sera naturellement accru et il faut

38、 le prendre en considration. Si on introduit la rgulation tant lmission qu la rception, des abonns plus nombreux pourront rencontrer des quivalents globaux pour la sonie voisins dune valeur optimale souhaite, cest-dire que moins de communications seront juges mdiocres ou peu satisfaisantes. Un autre

39、 motif pour introduire la rgulation est que lon obtient une meilleure qualit en matire deffet local la fois pour les lignes longues et pour les lignes courtes. 7 Impdance prsente la ligne On peut faire les remarques suivantes propos de cette impdance: dans le cas dune adaptation avec la ligne en imp

40、dances conjugues, on transfre un maximum de puissance, mais on a des problmes deffet local sur les lignes courtes et des problmes de stabilit et dcho dans les communications grande distance; dans le cas dune adaptation avec la ligne en impdances images, on rduit la gamme des impdances prsentes au ce

41、ntral ainsi que le problme deffet local, sauf sur les lignes dabonn courtes relies des installations de jonction rsistives (par exemple des circuits MIC); une impdance du mme ordre de grandeur que la rsistance de rfrence (par exemple 600 ohms) rduit les problmes de normalisation, notamment au point

42、de vue de lutilisation des lignes locales pour des services non tlphoniques; toutefois, loptimum au point de vue de leffet local ne peut pas tre atteint sur toute la gamme de longueurs des lignes locales. La question de limpdance prsente la ligne est aborde dans les rfrences 2, 7 et 11. 8 Impdance d

43、quilibrage de leffet local Le degr daffaiblissement de leffet local dpend des facteurs suivants: efficacit du microphone; efficacit de lcouteur; quilibrage de leffet local dans le circuit de lappareil tlphonique; impdance de la ligne laquelle lappareil tlphonique est raccord. Lefficacit du microphon

44、e et de lcouteur ainsi que le circuit de lappareil dpendent en partie de lefficacit requise lmission et la rception. En rgle gnrale, le concepteur de lappareil tlphonique na aucun moyen dagir sur limpdance de la ligne laquelle est raccord lappareil. La seule caractristique dont il puisse disposer li

45、brement pour limiter leffet local est ZSO, impdance dquilibrage de cet effet local 7, 8, cest-dire limpdance qui limine compltement leffet local lorsquelle est mise en circuit (voir aussi rfrence 12). Si un transformateur diffrentiel est utilis dans lappareil tlphonique, limpdance du rseau dquilibra

46、ge interne est gale ZSOmodifie par le rapport des nombres de spires du transformateur. Toutefois, la notion de ZSOnest pas affecte si le circuit comprend un autre moyen dquilibrage quun transformateur. Supplment 10 Srie P (11/88) 5 9 Interfonctionnement avec le rseau existant Pour la conception des nouveaux postes tlphoniques introduire dans le rseau, il faut tenir compte de la ncessit dassurer une transmission satisfaisante sur les communications tablies avec les circuits tlphoniques locaux existants, soit directement soit par lintermdiaire du rseau grande distance. La rf